Avant de commencer cet article, je tiens à montrer la différence entre un bon et mauvais
hacker.
On distingue plusieurs
catégories d'hackers, les voici (
Wikipedia.org)
- Les chapeaux blancs - ou white hats : consultants en sécurité, administrateurs réseaux ou cyber-policiers, ils ont un sens de l'éthique et de la déontologie.
- Les chapeaux gris - ou grey hats : s'ils n'hésitent pas à pénétrer dans les systèmes sans y être autorisés, ils n'ont pas pour but de nuire. C'est souvent l'exploit informatique qui les motive, une façon de faire la preuve de leur agilité. Ils peuvent tout de même détruire des sites qui font oppositions aux idées qu'ils prônent.
- Les chapeaux verts - ou green hats : s'ils sont très proche des grey hats, il n'hésitent pas à lutter contre les associations/communautés xénophobes et pédophiles.
- Les chapeaux noirs - ou black hats ou pirates: créateurs de virus, cyber-espions, cyber-terroristes et cyber-escrocs, agissant hors-la-loi dans le but soit de nuire soit de tirer profit de leurs actes illégaux.
Revenons maintenant sur le fait du jour.
Une conférence à, en ce moment, lieu dans un campus de
Redmond.
Cette conférence privée organisée par
Microsoft se nomme
Blue Hat et se déroule en moyenne
deux fois par an depuis deux années.
Elle a pour but de réunir plusieurs centaines de personnes
internes à l’entreprise, mais également
extérieures à l'entreprise pour qu'elles livrent leur point de vue sur le thème de la
sécurité infomatique.
Des
hackers ont été invités pour pirater des produits
Microsoft afin que les développeurs puissent découvrir la manière utilisée par les
pirates pour chercher des failles pour les utiliser ensuite à des fins
malveillantes.
Le temps de parole accordé est de
30 minutes afin de donner son avis sur une technique ou une présentation.
En inspérant que
Microsoft multiplie ces rencontres pour nous livrer des logiciels sans aucune faille.
On peut toujours rêver.
Source : IT World